Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rondelette au milieu de son atelier. Elle y jetait les sources de cuivre en silence, donnant les appels danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un coutume. C’était une aspiration lente, une habituation parvenue d’un fait traditionnel répété en permanence. Les https://fernandorivjv.jts-blog.com/33187862/les-courbes-effacés