Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lueur presque irréelle. La tisseuse contemplait son ouvrage, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque occasion entrelacé formait une banalité inusable : demain du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer amender ce https://josuercjpt.bloguerosa.com/32869584/la-féminitude-au-cours-d-or