Les rayons du soleil couchant se reflétaient sur les fils d’or, illuminant l’étoffe d’une lumiere presque irréelle. La tisseuse contemplait son travaux manuels, le cœur alourdi par l’image qui s’y dessinait. Chaque cours, chaque occasion entrelacé formait une lapalissade indéfectible : la destinée du prince était scellé. Pouvait-elle encore espérer https://fredt987ixl4.blogars.com/profile